miércoles, 9 de noviembre de 2011

PARADISE por Marcel Bresteau

Le paradis est ennuyant. Je ne comprends pas ces milliers de personnes s’adonnant à une hygiène de vie irréprochable et vierge de tous vis, pour enfin franchir la « bonne » porte du purgatoire. Même si le bonheur à du bon, ce n’est que grâce aux nuages que le soleil nous fait du bien. Chaque épreuve grande ou petite, fait partie intégrante du bonheur qui nous attend. Bien sur, pour pouvoir profiter de ces quelques moments de béatitude et d’insouciance, il faut ramer, persévérer. C’est ce que je m’efforce de faire.

Le problème, c’est qu’avant de pouvoir accéder au bonheur, il faut identifier la nature de celui ci, et malheureuses sont les âmes qui ne savent pas encore quel chemin arpenté. Certain trouverons l’euphorie dans leur travail, d’autre dans le sourire de leurs bambins et toutes ces choses si populaire que le monde adore. Mais quelques individus on une conception de l’allégresse assez particulière. Ces rubis cubes caractérielles ont besoin de se trouver pour enfin pouvoir déterminer ce qu’il leur apportera le sourire. Même si ils peuvent paraître infortuné, ce seront finalement eux qui pourront prétendre au vrai bonheur, celui qui transporte et ne s’affaibli presque jamais. Car en plus d’avoir réussi leur épreuve avec brio, c’est à travers la conquête de la prospérité qu’ils auront finalement compris que, même si l’on est seul, la compagnie d’une personne aux mêmes ambitions ne peut être qu’utile pour percer le mystère de son être.

En attendant, il faut laisser le temps au temps, car le bonheur n’est pas bon si il se consomme trop tôt, et il reste a chacun de nous toutes une vie pour se redécouvrir et pouvoir balancer entre moment de détresse et de joie, que les pente et les sommet de la montagne de la vie nous réserve


Marcel Bresteau

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